Monténégro

Ibiza, Majorque, Minorque, on voyage dans les îles Baléares pour le soleil, la mer, l’arrière-pays et ses petits villages endormis qui contrastent avec les soirées animées de la côte. Ibiza est montagneuse, rocailleuse, parsemée d'orangers et mondialement réputée pour ses soirées branchées et son ambiance hippie. Palma est plus développée mais ses atouts culturels restent uniques : patios, vignobles, la côte ouest sauvage, les villages de Deia, Sollers et Valldemossa. Minorque est la plus discrète, la plus authentique, aux parfums de Camargue et d'Andalousie.

Elle a quelque chose de féérique, lumière douce et nuancée, veloutée comme un yaourt, des ruines de Pliska l’ancienne capitale, aux rondeurs de la cathédrale Alexandre-Nevski à Sofia. Et la magie des stalactites et stalagmites des grottes des Rhodopes, créées pour héberger des créatures irréelles, qui passeront ensuite sur les ponts merveilleux, ces arches de pierre naturels au cœur du massif balkanique, siège d’aventures mythologiques et de vraies traces d’histoire d’hommes, lieu de culte dans l'Antiquité, puis tour à tour sous influences grecque, romaine, byzantine, ottomane.

Bien que située sur les routes des plus vaillantes conquêtes, la Crète a préservé l’ardeur d’une civilisation empreinte d’une culture et d’une âme bien spécifiques. Berceau de la civilisation minoenne, ses sites témoignent encore aujourd’hui d’une culture fière et glorieuse. D’Héraklion à La Canée, de Réthymno à Lassithi, la plus grande et la plus méridionale des îles grecques vous recevra avec la chaleur d’une hospitalité très authentique. Au détour de ses majestueux vestiges, le temps de votre voyage en Crète, vous découvrirez des centaines de villages préservés, des gorges profondes et sauvages et les saveurs subtiles d’une gastronomie raffinée. Location de maison ou d’appartement, hôtels de luxe, en bord de mer ou dans les terres, la Crète à votre rythme !

Aujourd’hui on rêve d’un voyage en Croatie. Pourtant, il n’y a pas si longtemps, du temps où elle était fondue dans la Yougoslavie, les côtes de Croatie ne faisaient rêver personne. Peut-être est-ce le tracé de ses frontières, un fer à cheval ça porte chance, peut-être est-ce son nom de cri d’oiseau qui donne envie de s’y envoler, planer le long des côtes déchiquetées, falaises à-pic de la mer adriatique, pour se poser, capitaine de vaisseau pétrifié, sur un récif des Kornati, au creux d’une crique de sable des îles Pakleni ou de Baska Voda, laisser filer le temps, ou, gladiateur inconscient du grand théâtre de Pula, le remonter.